Entre 1940 et 1945, alors qu’il est prisonnier de guerre, René envoya plus de 300 lettres et cartes à sa jeune épouse Marthe.
Ces lettres traversèrent l’Allemagne et la France occupée, entre camps de prisonniers et Ivry-sur-Seine. Ces lettres étaient soigneusement gardées par Michèle, ma grand-mère, pendant plus de 70 ans.
Ces écrits sont donc mis en page, au jour le jour.
Ils sont accompagnés d’images d’archives familiales.